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Alya Zao
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Messages : 6
Source de l'avatar : Darth Talon / Monorirogue
Race et origine : Twi'Lek / Sith (Star Wars)
Age et genre : 33 ans / Féminin
Métier : Tenancière d'un salon de tatouage
Comptes : 3/3
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Alya ZaoSam 1 Juin - 1:56
Alya Zao
Give yourself to the Dark Side
Voyageur
En quelques mots
Venue d’une galaxie lointaine, Alya Zao a connu la misère, l’exploitation et la souffrance avant d’être capable de faire usage de ce que tout a chacun dans cette galaxie considère soit comme une bénédiction, soit comme une ignominie, a savoir l’usage de la Force. Depuis, elle a rejoint les Sith et manipule cette énergie mystique en faisant usage de ses émotions négative. Depuis qu’elle a découvert Amaryllis, elle construit tranquillement sa place en tenant un salon de tatouage, le « Soleil Sombre » cultivant une image sulfureuse a dessein pour se construire une image de marque adaptée a son physique
Age 33 ans
Et en année humaine, à quoi cela correspondrait ? 33 ans
Genre Féminin
Orientation sexuelle Pansexuelle, qu’importe le flacon, pourvu qu’il y est l’ivresse
Métier ou fonction a Amaryllis Propriétaire et tatoueuse au salon le « Soleil Sombre »
Autres précisions et funfacts - Les tatouages recouvrant le corps de la Sith ne sont pas ordinaire : l’encre a été enchantée avec une ancienne technique du côté obscur, rendant l’opération extrêmement douloureuse. Alya fait usage de cette technique particulière auprès d’une clientèle prête a mettre le prix pour obtenir de nouvelles sensations de douleur : les individus recherchant le BDSM… Et ils sont bien plus nombreux qu’elle ne l’avait imaginée…
- Puisqu’elle fut esclave jusqu’à son adolescence, Alya dispose de base solide dans le domaine de la danse et pourrait théoriquement tout a fait se produire dans un cabaret ou tout autre forme d’établissement offrant des spectacles de danse sexy.
- Pour une Dame Sith, la Twi’Lek sait faire preuve d’une patience étonnante. Certes, elle nourris son pouvoir d’émotion brutale, comme n’importe quel Sith, mais elle sait prendre son temps pour obtenir ce qu’elle souhaite ;
- Son titre de Sith est Darth Kama
Race du personnage Twi’Lek sensible a la Force
Description de la race et ses particularités et capacités
Twi’Lek : Originaire de la planète Ryloth, les Twi’Lek sont l’une des races les plus répandue de la galaxie. Ils se présentent sous une forme humanoïde dont la taille moyenne varie entre le mètre soixante et les deux mètres pour les individus les plus grands. D’une espérance de vie semblable aux humains, les Twi’lek sont généralement reconnu pour leur pigmentation de peau, affichant des couleurs bien plus exotique que celle des humains, ainsi que leurs Lekkus, les deux tentacules se trouvant derrière leur cerveau et remplaçant en quelque sorte la chevelure humaine. Il faut savoir que ses Lekkus sont très sensible, puisqu’il s’agit d’un prolongement du cerveau, et représente donc autant une zone érogène qu’un point faible pouvant être facilement exploité.
La société Twi’Lek est une société traditionnelle qui recherche a « suivre le mouvement » plutôt que le combattre, raison pour laquelle les femmes, qui sont pratiquement systématiquement considérée comme des beautés, ou des beautés en devenir pour les enfants, sont capturée pour être réduite en esclavage, voire vendu par leurs famille, les autorités percevant cela comme un moyen comme un autre de coloniser les étoiles. Disposant de deux estomacs, les Twi’Lek ont beaucoup d’appétit et sont capable de manger pratiquement tout ce qu’ils désirent, ce qui produit chez les plus oisif de l’obésité perçu comme un symbole de réussite sociale. Bien que capable de parler la plupart des langages galactique, les Twi’Lek disposent de leurs propres langages, le Twi’Leki, qui intègrent des mouvements de Lekku permettant a deux Twi’Lek de pouvoir discuter en toute impunité au milieu d’un groupe de personne n’étant pas de leur espèce.
Sith : Si a l’origine, le terme Sith désigné une société et une espèce consciente de la galaxie, cette dernière s’est désormais éteinte depuis plusieurs milliers d’années, mais une partie de leur culture et de leur pratique de la Force a persisté au travers les âges. Il serait sans doute trop fastidieux de retracer la longue et ancienne histoire des Seigneurs Sith, toutefois, il est relativement aisé de les définir comme des individus sensible a la Force suivant les préceptes de la voie du « Côté Obscur de la Force ». Dans les croyances galactiques, la Force est une énergie qui imprègnent chaque être vivant et qui en retour est influencée par la psyché et les actions de ses derniers. Les Jedi prétendent qu’en combattant le côté obscur, ils maintiennent une « balance » dans la Force permettant a la vie de prospérer. Mais pour les Sith, la Force est une énergie qui ne demande qu’à être employé au service de leurs désirs, qu’il s’agisse de leurs ambitions, de leurs pulsions ou autres aspirations plus ou moins avouable. Il existe de nombreuses discipline dans l’art de la pratique de la Force, mais cette dernière n’est pas accessible a n’importe qui : seul les être « sensible a la Force », c’est-à-dire ceux disposant dans leurs sang d’un taux de midichlorien assez élevé, sont capable d’en faire usage.
Il serait trop long et fastidieux de décrire les immenses pouvoirs qui peuvent s’offrir aux praticiens du Côté Obscur de la Force, il est toutefois nécessaire et raisonnable de décrire les disciplines qu’Alya a apprise, que cela soit auprès de son ancien maître qu’en autodidacte.
Pratique de l’escrime au sabre-laser : Le plus grand signe distinctif des Jedi et des Sith est sans aucun doute l’usage de l’escrime au travers les sabre-lasers, des armes considérée comme noble et élégante en comparaison des blasters et arme a distance employées dans les armées galactiques. Bien qu’un sabre-laser soit très grand, puisqu’il dispose d’une poignée de trente centimètre et d’une lame d’un mètre trente, son poids très léger exige une concentration absolu afin de le manier sans risque d’être blessé. En retour, sa lame est capable de trancher pratiquement n’importe quel métaux, seul les plus résistants comme le Beskar, le fer Mandalorien, étant capable de s’opposer a sa morsure. Il existe plusieurs variantes de sabre-laser, mais Alya utilise un sabre unique et simple et s’est spécialisée dans la pratique de deux des sept formes de combat codifiée de cet art martial : la forme IV, dite Ataru, qui consiste a faire usage de la Force afin de rester très mobile et d’exploiter l’espace pour submerger l’adversaire sous les assauts a des angles inattendu, et la forme V, le Djem So, qui exploite la puissance physique brute en imposant un rythme puissant et en contraignant l’adversaire a une défense épuisante.
Renforcement physique : La Force peut être utilisée afin de pouvoir renforcer sa puissance physique : de cette façon, un individu peut augmenter sa force, son endurance, faire des bonds bien plus long et haut que le commun des mortels, améliorer sa vitesse, ses réflexes et sa conscience de son environnement. C’est la raison pour laquelle les Jedi et les Sith sont aussi difficile a prendre en défaut.
Télékinésie et dérivée : L’un des pouvoirs les plus connu des sensibles a la Force est la télékinésie, et souvent, un individu qui n’aura pas été testée a sa naissance sur son taux de Midichlorien (l’unité de mesure de sensibilité a la Force) l’utilisera de façon plus ou moins instinctive. Elle permet de déplacer les objets par la simple pensée, et sa puissance dépend de façon égale de la connexion avec la Force d’un individu que de la puissance de son imagination, car après tout, la Force dépend aussi de l’ouverture d’esprit de celui ou celle qui la pratique. L’on trouve parmi ses dérivées la poussée de Force, qui permet de repousser un individu ou de créer une vague d’énergie pour ouvrir une porte par exemple, ou encore l’étranglement de Force, technique du côté obscur permettant d’étouffer ses victimes a distance.
Persuasion : Contrairement aux idées reçus, la persuasion de Force n’est pas une technique de contrôle mental absolu : elle permet d’imprimer une idée dans l’esprit de quelqu’un et de la rendre particulièrement attractive. Ceci dit, cette technique ne fonctionne que sur les esprits faibles, et un être fort sera capable d’y résister. Il est intéressant de noter que la Force permet également de lire les pensées de surface des individus (c’est-à-dire les pensées conscientes a l’instant T), mais les véritables techniques de contrôle mentale du côté obscur de la Force exige une puissance qu’Alya n’a pas encore atteinte, cette discipline n’étant pas sa favorite.
Éclair de Force : Technique signature des Sith, l’éclair de Force permet de modéliser des éclairs d’énergie pure afin de frapper une cible et lui infliger d’immense douleur. Cette dernière est toutefois modulable et a l’instar de ses tatouages enchantés, Alya a eue la surprise de découvrir sur Amaryllis des individus trouvant autre-chose que de la douleur sous les éclairs Sith...
Magie Sith: La Magie Sith est sans aucun doute la discipline la plus ancienne, la plus sombre et le secret le mieux gardé des Sith : elle ne nécessite pas seulement la maîtrise de la Force, mais également du « Noir Parler », la langue ancienne du peuple des Sith, car sa puissance est également situé dans les mots de pouvoirs. C’est une disciplines ancienne capable de déformer les lois de la nature elle-même, mais plutôt que de lister toutes ses capacités, nous nous limiterons aux techniques employées par Alya :
- La Piste de Sang : En dispersant une goutte de son propre sang sur quelqu’un, Alya peut ainsi suivre a la trace cette personne durant vingt quatre heure, sur des distances pouvant couvrir plusieurs systèmes solaire.
- Soin Sith : Technique permettant de faire usage du Côté Obscur afin de pouvoir guérir des blessures légères, ne permet pas de régénérer un membre par exemple
- Amulette Sith : Technique d’Alchimie permettant d’enchanter une amulette afin de renforcer la connexion de son porteur avec le côté obscur de la Force.
Description de la race et ses particularités et capacités
Twi’Lek : Originaire de la planète Ryloth, les Twi’Lek sont l’une des races les plus répandue de la galaxie. Ils se présentent sous une forme humanoïde dont la taille moyenne varie entre le mètre soixante et les deux mètres pour les individus les plus grands. D’une espérance de vie semblable aux humains, les Twi’lek sont généralement reconnu pour leur pigmentation de peau, affichant des couleurs bien plus exotique que celle des humains, ainsi que leurs Lekkus, les deux tentacules se trouvant derrière leur cerveau et remplaçant en quelque sorte la chevelure humaine. Il faut savoir que ses Lekkus sont très sensible, puisqu’il s’agit d’un prolongement du cerveau, et représente donc autant une zone érogène qu’un point faible pouvant être facilement exploité.
La société Twi’Lek est une société traditionnelle qui recherche a « suivre le mouvement » plutôt que le combattre, raison pour laquelle les femmes, qui sont pratiquement systématiquement considérée comme des beautés, ou des beautés en devenir pour les enfants, sont capturée pour être réduite en esclavage, voire vendu par leurs famille, les autorités percevant cela comme un moyen comme un autre de coloniser les étoiles. Disposant de deux estomacs, les Twi’Lek ont beaucoup d’appétit et sont capable de manger pratiquement tout ce qu’ils désirent, ce qui produit chez les plus oisif de l’obésité perçu comme un symbole de réussite sociale. Bien que capable de parler la plupart des langages galactique, les Twi’Lek disposent de leurs propres langages, le Twi’Leki, qui intègrent des mouvements de Lekku permettant a deux Twi’Lek de pouvoir discuter en toute impunité au milieu d’un groupe de personne n’étant pas de leur espèce.
Sith : Si a l’origine, le terme Sith désigné une société et une espèce consciente de la galaxie, cette dernière s’est désormais éteinte depuis plusieurs milliers d’années, mais une partie de leur culture et de leur pratique de la Force a persisté au travers les âges. Il serait sans doute trop fastidieux de retracer la longue et ancienne histoire des Seigneurs Sith, toutefois, il est relativement aisé de les définir comme des individus sensible a la Force suivant les préceptes de la voie du « Côté Obscur de la Force ». Dans les croyances galactiques, la Force est une énergie qui imprègnent chaque être vivant et qui en retour est influencée par la psyché et les actions de ses derniers. Les Jedi prétendent qu’en combattant le côté obscur, ils maintiennent une « balance » dans la Force permettant a la vie de prospérer. Mais pour les Sith, la Force est une énergie qui ne demande qu’à être employé au service de leurs désirs, qu’il s’agisse de leurs ambitions, de leurs pulsions ou autres aspirations plus ou moins avouable. Il existe de nombreuses discipline dans l’art de la pratique de la Force, mais cette dernière n’est pas accessible a n’importe qui : seul les être « sensible a la Force », c’est-à-dire ceux disposant dans leurs sang d’un taux de midichlorien assez élevé, sont capable d’en faire usage.
Il serait trop long et fastidieux de décrire les immenses pouvoirs qui peuvent s’offrir aux praticiens du Côté Obscur de la Force, il est toutefois nécessaire et raisonnable de décrire les disciplines qu’Alya a apprise, que cela soit auprès de son ancien maître qu’en autodidacte.
Pratique de l’escrime au sabre-laser : Le plus grand signe distinctif des Jedi et des Sith est sans aucun doute l’usage de l’escrime au travers les sabre-lasers, des armes considérée comme noble et élégante en comparaison des blasters et arme a distance employées dans les armées galactiques. Bien qu’un sabre-laser soit très grand, puisqu’il dispose d’une poignée de trente centimètre et d’une lame d’un mètre trente, son poids très léger exige une concentration absolu afin de le manier sans risque d’être blessé. En retour, sa lame est capable de trancher pratiquement n’importe quel métaux, seul les plus résistants comme le Beskar, le fer Mandalorien, étant capable de s’opposer a sa morsure. Il existe plusieurs variantes de sabre-laser, mais Alya utilise un sabre unique et simple et s’est spécialisée dans la pratique de deux des sept formes de combat codifiée de cet art martial : la forme IV, dite Ataru, qui consiste a faire usage de la Force afin de rester très mobile et d’exploiter l’espace pour submerger l’adversaire sous les assauts a des angles inattendu, et la forme V, le Djem So, qui exploite la puissance physique brute en imposant un rythme puissant et en contraignant l’adversaire a une défense épuisante.
Renforcement physique : La Force peut être utilisée afin de pouvoir renforcer sa puissance physique : de cette façon, un individu peut augmenter sa force, son endurance, faire des bonds bien plus long et haut que le commun des mortels, améliorer sa vitesse, ses réflexes et sa conscience de son environnement. C’est la raison pour laquelle les Jedi et les Sith sont aussi difficile a prendre en défaut.
Télékinésie et dérivée : L’un des pouvoirs les plus connu des sensibles a la Force est la télékinésie, et souvent, un individu qui n’aura pas été testée a sa naissance sur son taux de Midichlorien (l’unité de mesure de sensibilité a la Force) l’utilisera de façon plus ou moins instinctive. Elle permet de déplacer les objets par la simple pensée, et sa puissance dépend de façon égale de la connexion avec la Force d’un individu que de la puissance de son imagination, car après tout, la Force dépend aussi de l’ouverture d’esprit de celui ou celle qui la pratique. L’on trouve parmi ses dérivées la poussée de Force, qui permet de repousser un individu ou de créer une vague d’énergie pour ouvrir une porte par exemple, ou encore l’étranglement de Force, technique du côté obscur permettant d’étouffer ses victimes a distance.
Persuasion : Contrairement aux idées reçus, la persuasion de Force n’est pas une technique de contrôle mental absolu : elle permet d’imprimer une idée dans l’esprit de quelqu’un et de la rendre particulièrement attractive. Ceci dit, cette technique ne fonctionne que sur les esprits faibles, et un être fort sera capable d’y résister. Il est intéressant de noter que la Force permet également de lire les pensées de surface des individus (c’est-à-dire les pensées conscientes a l’instant T), mais les véritables techniques de contrôle mentale du côté obscur de la Force exige une puissance qu’Alya n’a pas encore atteinte, cette discipline n’étant pas sa favorite.
Éclair de Force : Technique signature des Sith, l’éclair de Force permet de modéliser des éclairs d’énergie pure afin de frapper une cible et lui infliger d’immense douleur. Cette dernière est toutefois modulable et a l’instar de ses tatouages enchantés, Alya a eue la surprise de découvrir sur Amaryllis des individus trouvant autre-chose que de la douleur sous les éclairs Sith...
Magie Sith: La Magie Sith est sans aucun doute la discipline la plus ancienne, la plus sombre et le secret le mieux gardé des Sith : elle ne nécessite pas seulement la maîtrise de la Force, mais également du « Noir Parler », la langue ancienne du peuple des Sith, car sa puissance est également situé dans les mots de pouvoirs. C’est une disciplines ancienne capable de déformer les lois de la nature elle-même, mais plutôt que de lister toutes ses capacités, nous nous limiterons aux techniques employées par Alya :
- La Piste de Sang : En dispersant une goutte de son propre sang sur quelqu’un, Alya peut ainsi suivre a la trace cette personne durant vingt quatre heure, sur des distances pouvant couvrir plusieurs systèmes solaire.
- Soin Sith : Technique permettant de faire usage du Côté Obscur afin de pouvoir guérir des blessures légères, ne permet pas de régénérer un membre par exemple
- Amulette Sith : Technique d’Alchimie permettant d’enchanter une amulette afin de renforcer la connexion de son porteur avec le côté obscur de la Force.
COMPTE DE DROITS - 3/3
COMPTE DE CREDITS - Pour l’instant, Alya fait partie de la classe moyenne et ne semble pas avoir de plan d’enrichissement démesuré. Après tout, elle mène un mode de vie qui l’éloigne de la richesse dans sa galaxie, et n’en souffre pas particulièrement, ce qu’elle recherche est différent d’une montagne de crédit.
COMPTE DE CREDITS - Pour l’instant, Alya fait partie de la classe moyenne et ne semble pas avoir de plan d’enrichissement démesuré. Après tout, elle mène un mode de vie qui l’éloigne de la richesse dans sa galaxie, et n’en souffre pas particulièrement, ce qu’elle recherche est différent d’une montagne de crédit.
Descriptions
Physique
Caractère
Alya laisse généralement une forte impression a celle et ceux qu’elle croise dans la rue, même dans la galaxie très lointaine, car bien que le commun des mortels ne soit généralement pas vraiment capable de faire la différence entre un Jedi et un Sith, l’apparence générale de la Twi’Lek dégage une forme de confiance en elle et d’assurance pouvant s’avérer assez intimidante, peu importe qu’elle soit dans une tenue provocante ou au contraire dissimuler derrière l’une des amples robes de bure noire appréciée des utilisateurs du Côté Obscur de la Force. Bien qu’elle ne soit pas spécialement grande, affichant un mètre soixante quinze surpassant la moyenne des femmes sans pour autant culminer a des sommets, elle reste toujours droite, adopte une démarche qui se veut volontaire et assurée et garde généralement le regard droit devant elle, faisant usage de sa sensibilité a la Force afin de pouvoir surveiller son environnement, une méthode bien plus efficace que simplement faire usage du regard d’ailleurs.
Il est difficile de savoir ce qui peut impressionner en premier chez elle au sein d’Amaryllis, car cela dépendra en réalité de la sensibilité des personnes qui la rencontrerons : certains s’arrêteront sans doute au fameux regard mordorée des adeptes du Côté Obscur, un regard bien plus expressif qu’il n’y paraît et qui transmet relativement bien les émotions de sa propriétaire, d’autant plus lorsque ses dernières sont extrêmes. Pour d’autre, c’est sans doute les attributs les plus visible de son appartenance a l’espèce des Twi’Lek qui provoquerons des interrogations : absence de chevelure, remplacée par un front haut et deux tentacules, que l’on nomme Lekku, descendant jusqu’au niveau du creux de ses reins ainsi que l’absence d’oreille humaine, remplacée par des sortes de cônes disposant d’une sensibilité comparable. Les derniers s’arrêteront sans doute sur son tein de peau si particulier, d’un rouge vif, qui n’est pas sa couleur naturelle d’ailleurs, et les nombreux tatouages tribaux issue de la tradition Sith recouvrant l’entièreté de son corps, y compris son visage, qui a côté de cela, est loin d’être vilain d’ailleurs. Une forme ovale parfaite, absence totale de cicatrice, lèvre pulpeuse et nez fin viennent faire honneur a la réputation de grande beauté des femmes Twi’Lek.
Il ne fait aucun doute que la Sith prend soin de sa condition physique, car lorsqu’elle ne porte pas ses immenses bures, l’on peut admirer des muscles dessinées a peu près sur l’ensemble de son corps. Bien qu’ils ne soient pas saillant comme le seraient ceux d’une personne pratiquant la musculation de façon intensive, ils ne laissent aucun doute sur le fait que provoquer la jeune femme pourrait être une très mauvaise idée et que cette dispose de plus de force que son apparence ne pourrait le laisser croire, enfin, si vous ne vous êtes pas laisser prendre par son décolleté plongeant, sa poitrine étant pratiquement mise en valeur dans ses tenues, la Sith ayant conscience que disposer d’une poitrine aussi voluptueuse pouvait représenter un avantage indéniable dans une négociation. Un individu ayant toutefois davantage d’instinct de survie s’attardera sans doute davantage sur les muscles de son ventre ou de ses épaules, a moins qu’il ne se laisse pas tromper par ses tatouages, si beau, mais semblant en même temps si dérangeant, comme s’ils avaient eux-mêmes une nature malveillante, ce qui n’est pas si éloignée de la réalité vu leur nature enchantée par le côté obscur de la Force.
Au niveau de ses tenues, il existe deux variantes principales : lorsqu’elle recherche de la discrétion ou du confort, ou qu’il est nécessaire de se couvrir, Alya adopte des grandes robes de bure noire, symbole de l’appartenance a l’ordre Sith, doté d’une capuche assez grande pour recouvrir le sommet de son crâne. Il n’est même pas rare que même son regard soit alors dissimulé et qu’on ne retrouve dans la lumière que son menton et ses lèvres, même si elle peut très bien retirer la capuche afin de montrer son visage. A l’opposé, lorsqu’elle en ressent la nécessité, elle est tout a fait capable de faire appel aux connaissances acquises lors de sa vie d’esclave, alors qu’on la préparait a devenir une courtisane, pour porter des tenues très osés, mettant en valeurs ses courbes, ainsi que ses tatouages. Même sa tenue de combat n’est guère très habillée, laissant ainsi ses muscles a découvert, ce qui n’a rien de vraiment surprenant pour quelqu’un s’étant spécialisée dans l’Ataru, un art de l’escrime avant tout baser sur l’esquive et l’agilité et nécessitant donc une liberté totale dans les mouvements. Bien entendu, elle serait tout a fait capable de porter nombre d’autres tenues et en a déjà eue l’occasion depuis qu’elle fréquente Amaryllis, mais ses préférences vont toujours vers ses deux choix opposés.
Il est difficile de savoir ce qui peut impressionner en premier chez elle au sein d’Amaryllis, car cela dépendra en réalité de la sensibilité des personnes qui la rencontrerons : certains s’arrêteront sans doute au fameux regard mordorée des adeptes du Côté Obscur, un regard bien plus expressif qu’il n’y paraît et qui transmet relativement bien les émotions de sa propriétaire, d’autant plus lorsque ses dernières sont extrêmes. Pour d’autre, c’est sans doute les attributs les plus visible de son appartenance a l’espèce des Twi’Lek qui provoquerons des interrogations : absence de chevelure, remplacée par un front haut et deux tentacules, que l’on nomme Lekku, descendant jusqu’au niveau du creux de ses reins ainsi que l’absence d’oreille humaine, remplacée par des sortes de cônes disposant d’une sensibilité comparable. Les derniers s’arrêteront sans doute sur son tein de peau si particulier, d’un rouge vif, qui n’est pas sa couleur naturelle d’ailleurs, et les nombreux tatouages tribaux issue de la tradition Sith recouvrant l’entièreté de son corps, y compris son visage, qui a côté de cela, est loin d’être vilain d’ailleurs. Une forme ovale parfaite, absence totale de cicatrice, lèvre pulpeuse et nez fin viennent faire honneur a la réputation de grande beauté des femmes Twi’Lek.
Il ne fait aucun doute que la Sith prend soin de sa condition physique, car lorsqu’elle ne porte pas ses immenses bures, l’on peut admirer des muscles dessinées a peu près sur l’ensemble de son corps. Bien qu’ils ne soient pas saillant comme le seraient ceux d’une personne pratiquant la musculation de façon intensive, ils ne laissent aucun doute sur le fait que provoquer la jeune femme pourrait être une très mauvaise idée et que cette dispose de plus de force que son apparence ne pourrait le laisser croire, enfin, si vous ne vous êtes pas laisser prendre par son décolleté plongeant, sa poitrine étant pratiquement mise en valeur dans ses tenues, la Sith ayant conscience que disposer d’une poitrine aussi voluptueuse pouvait représenter un avantage indéniable dans une négociation. Un individu ayant toutefois davantage d’instinct de survie s’attardera sans doute davantage sur les muscles de son ventre ou de ses épaules, a moins qu’il ne se laisse pas tromper par ses tatouages, si beau, mais semblant en même temps si dérangeant, comme s’ils avaient eux-mêmes une nature malveillante, ce qui n’est pas si éloignée de la réalité vu leur nature enchantée par le côté obscur de la Force.
Au niveau de ses tenues, il existe deux variantes principales : lorsqu’elle recherche de la discrétion ou du confort, ou qu’il est nécessaire de se couvrir, Alya adopte des grandes robes de bure noire, symbole de l’appartenance a l’ordre Sith, doté d’une capuche assez grande pour recouvrir le sommet de son crâne. Il n’est même pas rare que même son regard soit alors dissimulé et qu’on ne retrouve dans la lumière que son menton et ses lèvres, même si elle peut très bien retirer la capuche afin de montrer son visage. A l’opposé, lorsqu’elle en ressent la nécessité, elle est tout a fait capable de faire appel aux connaissances acquises lors de sa vie d’esclave, alors qu’on la préparait a devenir une courtisane, pour porter des tenues très osés, mettant en valeurs ses courbes, ainsi que ses tatouages. Même sa tenue de combat n’est guère très habillée, laissant ainsi ses muscles a découvert, ce qui n’a rien de vraiment surprenant pour quelqu’un s’étant spécialisée dans l’Ataru, un art de l’escrime avant tout baser sur l’esquive et l’agilité et nécessitant donc une liberté totale dans les mouvements. Bien entendu, elle serait tout a fait capable de porter nombre d’autres tenues et en a déjà eue l’occasion depuis qu’elle fréquente Amaryllis, mais ses préférences vont toujours vers ses deux choix opposés.
Généralement, les individus imaginent les Seigneurs Sith comme des individus colériques, prompts à se laisser emporter par la moindre de leurs émotions et pas vraiment sociable… Hors, cette définition convient assez mal a Alya Zao. Certes, cette dernière est tout à fait capable de laisser s’exprimer sa colère et dans ce cas, il est préférable de ne pas être la cible de cette vague d’émotion négative, toutefois, elle a appris depuis longtemps à savoir contrôler celle-ci et relâcher la pression lorsque la nécessité fait loi. De fait, Alya est d’un naturel calme, posé et même assez sociable en réalité, ce qui lui permet de faire tourner sa petite boutique de tatouage sans rencontrer d’obstacle particulièrement complexe jusqu’ici. Elle est tout a fait capable de faire la conversation a un client ou une cliente tout en s’adonnant a son art, dispose d’une culture plus solide qu’on ne pourrait le croire et peut donc discuter de nombreux sujets sans avoir l’air perdu, et a vrai dire, il est fort probable que personne n’est vu dans la cité des plaisirs a quoi ressemble réellement la colère d’un Seigneur Sith, et pour le bien de ses droits comme de la santé de son environnement et des personnes qui l’entourent, il est sans doute préférable que cela en reste ainsi le plus longtemps possible, car Alya est bien plus dangereuse que sa silhouette ne pourrait le laisser deviner.
Car cette sociabilité, cette patience, est une construction, d’une certaine façon, ce n’est qu’un masque, un mensonge qui n’a rien de surprenant venant d’un ordre pour qui chaque vice semble être érigé en vertu cardinale. Pour les Sith, il n’existe aucun interdit, aucune limite au pouvoir du Côté Obscur de la Force. A chaque transgression, c’est une nouvelle chaine brisée sur le chemin du pouvoir suprême, car la ou les Jedi recherchent l’harmonie avec la Force afin de pouvoir se fondre en elle a leur mort, et atteindre ainsi une forme d’immortalité dans le cycle de la vie, pour les Sith, la Force est un outil qui doit se plier à leur volonté et leur permettre d’atteindre le secret ultime : l’immortalité. Bien peu de Seigneur Sith sont parvenu a s’en approcher, et le prix a payer pour atteindre un idéal aussi chimérique est aussi horrible que douloureux, mais tous sont prêt a le payer, pourvu qu’il soit capable d’être assez fort pour manier cette puissance sans s’autodétruire dans le processus, ce qui est encore plus rares. Pour un élu qui deviendra le nouveau Seigneur Noir des Sith, combien d’entre eux s’effondre, terrassé par une ambition bien trop grande pour leurs épaules trop fragiles ? Sans doute des milliers, voire plus…
Alya a accepté comme les autres ce cycle, elle aussi recherche le secret de l’immortalité, guidé dans cette quête par son ancien maître qui était un original, et à qui elle doit sans doute ses propres originalités. Le chemin de la Sith est avant tout guidé par deux traits de caractère qu’elle porte comme des vertus cardinales : la curiosité et la soif de connaissance. Selon elle, la connaissance mérite d’être valorisée pour elle-même, et elle est une véritable rat de bibliothèque, pouvant passer des heures dans des écrits ésotériques pouvant sembler sans intérêt a de nombreux individus. Les pouvoirs sombres se nourrissent des légendes, et la valeur que l’on accorde à une légende peut parfois rendre le pouvoir qu’elle dissimule encore plus puissant, c’est une conviction qu’elle porte et entretien sa motivation a poursuivre ses recherches, d’autant plus que même avec le don de la Force, elle a parfaitement conscience que son espérance de vie reste limité, d’autant plus en évoluant dans un ordre religieux ou l’assassinat et la trahison sont porté comme des signes de puissance a respecter plutôt que des comportements déviant à réprimer.
Dans le fond, Alya sait qu’elle ne trouvera sans doute pas elle-même le secret de l’immortalité, qu’elle devra transmettre le fruit de ses recherches a un ou une disciple qui poursuivra sa tâche, et peut-être que finalement, c’est cette conscience de la futilité de sa tâche qui l’a menée jusqu’à la ville des plaisirs : après tout, elle reste un Seigneur Sith, la recherche du plaisir instantané, de la satisfaction et des choses agréables sont gravé dans son mode de vie. Ici, elle peut s’abandonner librement a de nombreux vices, tant qu’ils ne sombrent pas dans la violence aveugle, sans problème, personne ne la jugera, a vrai dire, l’immense majorité des individus ne savent pas ce qu’est un Seigneur Sith, ressent de la curiosité pour ses tatouages et trouve son regard mordoré bien plus fascinant qu’effrayant, ce qui lui permet de séduire encore plus facilement qu’elle ne le faisait dans la galaxie très lointaine, même si son physique de Twi’Lek lui offre un avantage non négligeable. Pour l’instant, Alya entend bien simplement poursuivre sur ce mode de vie ici tout en poursuivant ses recherches dans sa propre galaxie, mais si les manœuvres d’influence dans la cité des plaisirs continuaient a être aussi grande, il est fort probable qu’elle finisse par prendre parti pour la personnalité qui lui semblera la plus a même de dominer toutes les âmes d’Amaryllis, a moins que cette personnalité ne soit autre qu’elle-même ? Après tout, un Sith est toujours susceptible d’être rattrapé par son égo et sa soif de conquête…
Car cette sociabilité, cette patience, est une construction, d’une certaine façon, ce n’est qu’un masque, un mensonge qui n’a rien de surprenant venant d’un ordre pour qui chaque vice semble être érigé en vertu cardinale. Pour les Sith, il n’existe aucun interdit, aucune limite au pouvoir du Côté Obscur de la Force. A chaque transgression, c’est une nouvelle chaine brisée sur le chemin du pouvoir suprême, car la ou les Jedi recherchent l’harmonie avec la Force afin de pouvoir se fondre en elle a leur mort, et atteindre ainsi une forme d’immortalité dans le cycle de la vie, pour les Sith, la Force est un outil qui doit se plier à leur volonté et leur permettre d’atteindre le secret ultime : l’immortalité. Bien peu de Seigneur Sith sont parvenu a s’en approcher, et le prix a payer pour atteindre un idéal aussi chimérique est aussi horrible que douloureux, mais tous sont prêt a le payer, pourvu qu’il soit capable d’être assez fort pour manier cette puissance sans s’autodétruire dans le processus, ce qui est encore plus rares. Pour un élu qui deviendra le nouveau Seigneur Noir des Sith, combien d’entre eux s’effondre, terrassé par une ambition bien trop grande pour leurs épaules trop fragiles ? Sans doute des milliers, voire plus…
Alya a accepté comme les autres ce cycle, elle aussi recherche le secret de l’immortalité, guidé dans cette quête par son ancien maître qui était un original, et à qui elle doit sans doute ses propres originalités. Le chemin de la Sith est avant tout guidé par deux traits de caractère qu’elle porte comme des vertus cardinales : la curiosité et la soif de connaissance. Selon elle, la connaissance mérite d’être valorisée pour elle-même, et elle est une véritable rat de bibliothèque, pouvant passer des heures dans des écrits ésotériques pouvant sembler sans intérêt a de nombreux individus. Les pouvoirs sombres se nourrissent des légendes, et la valeur que l’on accorde à une légende peut parfois rendre le pouvoir qu’elle dissimule encore plus puissant, c’est une conviction qu’elle porte et entretien sa motivation a poursuivre ses recherches, d’autant plus que même avec le don de la Force, elle a parfaitement conscience que son espérance de vie reste limité, d’autant plus en évoluant dans un ordre religieux ou l’assassinat et la trahison sont porté comme des signes de puissance a respecter plutôt que des comportements déviant à réprimer.
Dans le fond, Alya sait qu’elle ne trouvera sans doute pas elle-même le secret de l’immortalité, qu’elle devra transmettre le fruit de ses recherches a un ou une disciple qui poursuivra sa tâche, et peut-être que finalement, c’est cette conscience de la futilité de sa tâche qui l’a menée jusqu’à la ville des plaisirs : après tout, elle reste un Seigneur Sith, la recherche du plaisir instantané, de la satisfaction et des choses agréables sont gravé dans son mode de vie. Ici, elle peut s’abandonner librement a de nombreux vices, tant qu’ils ne sombrent pas dans la violence aveugle, sans problème, personne ne la jugera, a vrai dire, l’immense majorité des individus ne savent pas ce qu’est un Seigneur Sith, ressent de la curiosité pour ses tatouages et trouve son regard mordoré bien plus fascinant qu’effrayant, ce qui lui permet de séduire encore plus facilement qu’elle ne le faisait dans la galaxie très lointaine, même si son physique de Twi’Lek lui offre un avantage non négligeable. Pour l’instant, Alya entend bien simplement poursuivre sur ce mode de vie ici tout en poursuivant ses recherches dans sa propre galaxie, mais si les manœuvres d’influence dans la cité des plaisirs continuaient a être aussi grande, il est fort probable qu’elle finisse par prendre parti pour la personnalité qui lui semblera la plus a même de dominer toutes les âmes d’Amaryllis, a moins que cette personnalité ne soit autre qu’elle-même ? Après tout, un Sith est toujours susceptible d’être rattrapé par son égo et sa soif de conquête…
Histoire du personnage
Quel est le monde d'origine de ton personnage ? Il n’y a pas grand-chose a dire sur Ryloth, bien que cette dernière a la particularité d’afficher toujours la même face vers son soleil, créant deux climat très distinct. C’est un monde développé, mais ou la pratique de l’esclavage reste très pratiquée, aussi bien de façon « officielle » que dans des variantes plus sombre et obscure. Alya a passé très peu de temps sur Ryloth et n’y est plus jamais retournée après l’avoir quitté. Ce n’est qu’une origine, pas un foyer, et elle n’a strictement aucun sentiment envers cette planète.
Provient-il d'une oeuvre/univers existant(e) ? Si oui, laquelle ? Star Wars, cette galaxie lointaine, très lointaine… Par soucis de précision, cette fiche est avant tout basée sur l’univers Legends et non Canon, ce qui signifie que certaines informations ici présente seront différente de celle fournit aujourd’hui dans les productions Disney.
Décris nous en quelques mots son univers d'origine
La galaxie de Star Wars est très vaste, doté de très nombreux systèmes, peuplé par un nombre d’espèce consciente impressionnante : elle semble être un appel perpétuel au voyage et a la découverte, même si elle recèle également bien des dangers : si les mondes du noyau sont généralement riche, prospère et sûr, plus l’on approche la bordure extérieure, et plus l’on touche a la limite des pouvoirs politiques s’exerçant officiellement dans la galaxie : des organisations criminelles ne respectant que leurs propres codes d’honneurs pervertis y font régner leurs loi, celle du plus fort, du plus riche ou du plus fourbe.
L’on considère souvent que les humains et les sous espèces proches génétiquement de ses derniers comme les peuples les plus nombreux dans la galaxie, mais des chiffres de recensement exact de chaque planète n’existe pas, pour cause qu’il serait impossible de recenser une population totale a l’échelle de cette galaxie, encore plus lorsque le pouvoir central, qu’il soit démocratique ou dictatorial, s’affaiblit au fur et a mesure qu’il s’éloigne de son cœur. Bien entendu, il est impossible de mentionner la galaxie de Star Wars sans parler de la Force, cette puissance vivante qui imprègne chaque créature vivante, de la petite cellule aux dragons stellaires voguant dans les étoiles, ainsi que les deux ordres religieux s’affrontant depuis des temps immémoriaux pour imposer leurs suprématies sur cette dernière, les forces de la Lumière des Chevaliers Jedi contre la puissance des Ténèbres des Seigneurs Sith. Toutefois, il existe quelques sectes indépendante pratiquant la manipulation de la Force et vénérant cette dernière, souvent a l’abri des regards afin de pouvoir poursuivre leurs propres objectifs.
Provient-il d'une oeuvre/univers existant(e) ? Si oui, laquelle ? Star Wars, cette galaxie lointaine, très lointaine… Par soucis de précision, cette fiche est avant tout basée sur l’univers Legends et non Canon, ce qui signifie que certaines informations ici présente seront différente de celle fournit aujourd’hui dans les productions Disney.
Décris nous en quelques mots son univers d'origine
La galaxie de Star Wars est très vaste, doté de très nombreux systèmes, peuplé par un nombre d’espèce consciente impressionnante : elle semble être un appel perpétuel au voyage et a la découverte, même si elle recèle également bien des dangers : si les mondes du noyau sont généralement riche, prospère et sûr, plus l’on approche la bordure extérieure, et plus l’on touche a la limite des pouvoirs politiques s’exerçant officiellement dans la galaxie : des organisations criminelles ne respectant que leurs propres codes d’honneurs pervertis y font régner leurs loi, celle du plus fort, du plus riche ou du plus fourbe.
L’on considère souvent que les humains et les sous espèces proches génétiquement de ses derniers comme les peuples les plus nombreux dans la galaxie, mais des chiffres de recensement exact de chaque planète n’existe pas, pour cause qu’il serait impossible de recenser une population totale a l’échelle de cette galaxie, encore plus lorsque le pouvoir central, qu’il soit démocratique ou dictatorial, s’affaiblit au fur et a mesure qu’il s’éloigne de son cœur. Bien entendu, il est impossible de mentionner la galaxie de Star Wars sans parler de la Force, cette puissance vivante qui imprègne chaque créature vivante, de la petite cellule aux dragons stellaires voguant dans les étoiles, ainsi que les deux ordres religieux s’affrontant depuis des temps immémoriaux pour imposer leurs suprématies sur cette dernière, les forces de la Lumière des Chevaliers Jedi contre la puissance des Ténèbres des Seigneurs Sith. Toutefois, il existe quelques sectes indépendante pratiquant la manipulation de la Force et vénérant cette dernière, souvent a l’abri des regards afin de pouvoir poursuivre leurs propres objectifs.
COMMENT LE PORTAIL EST-IL APPARU ? POURQUOI ? A QUOI RESSEMBLE-T-IL ?
Alya a ouvert le portail pour la première fois en rangeant les archives de son ancien maître afin d’y rechercher les connaissances que celui-ci lui avait volontairement dissimulé : il se trouvait dans un Holocron Sith vide et ne s’activait qu’à l’ouverture de celui-ci, une fonction bien pratique puisqu’il permet à la Dame de pouvoir se glisser dans la ville des plaisirs sans jamais éveiller le moindre soupçon. Un Holocron Sith est a l’origine un artefact conçu afin de pouvoir stocker des informations essentiel pour des étudiants, ou pour les plus ambitieux et puissant Seigneur Sith un « corps de sécurité en cas de décès prématuré. Le portail en lui-même est une porte magique qui n’a rien de réellement particulier. Il est fort probable qu’il soit apparu a l’origine pour combler une frustration de la Twi’Lek qui ne parvenait pas a trouver ce qu’elle recherchait dans les informations de son ancien mentor.
QU'EST CE QUE TON PERSONNAGE VIENT FAIRE A AMARYLLIS ?
Alya rechercher la connaissance et c’est ce qu’elle vient obtenir à Amaryllis : il y a des sorciers, des vampires, des démons, des cyborgs, des elfes, etc… Tous ont une histoire à raconter, des secrets a dévoiler, et mine de rien il est plus facile qu’on ne pourrait le croire d’obtenir des confidences en recouvrant la peau de quelqu’un d’un motif choisit par cette personne. Toutefois, ce n’est pas la seule raison qui a guidé l’âme noire de la Sith jusqu’ici : l’attrait des plaisirs n’y est sans aucun doute pas étranger non plus…
Alya a ouvert le portail pour la première fois en rangeant les archives de son ancien maître afin d’y rechercher les connaissances que celui-ci lui avait volontairement dissimulé : il se trouvait dans un Holocron Sith vide et ne s’activait qu’à l’ouverture de celui-ci, une fonction bien pratique puisqu’il permet à la Dame de pouvoir se glisser dans la ville des plaisirs sans jamais éveiller le moindre soupçon. Un Holocron Sith est a l’origine un artefact conçu afin de pouvoir stocker des informations essentiel pour des étudiants, ou pour les plus ambitieux et puissant Seigneur Sith un « corps de sécurité en cas de décès prématuré. Le portail en lui-même est une porte magique qui n’a rien de réellement particulier. Il est fort probable qu’il soit apparu a l’origine pour combler une frustration de la Twi’Lek qui ne parvenait pas a trouver ce qu’elle recherchait dans les informations de son ancien mentor.
QU'EST CE QUE TON PERSONNAGE VIENT FAIRE A AMARYLLIS ?
Alya rechercher la connaissance et c’est ce qu’elle vient obtenir à Amaryllis : il y a des sorciers, des vampires, des démons, des cyborgs, des elfes, etc… Tous ont une histoire à raconter, des secrets a dévoiler, et mine de rien il est plus facile qu’on ne pourrait le croire d’obtenir des confidences en recouvrant la peau de quelqu’un d’un motif choisit par cette personne. Toutefois, ce n’est pas la seule raison qui a guidé l’âme noire de la Sith jusqu’ici : l’attrait des plaisirs n’y est sans aucun doute pas étranger non plus…
L’histoire d’Alya Zao est somme toute tristement banale pour une native de Ryloth. Par un manque de chance, sa sensibilité a la Force ne fut guère détectée par des individus capables de prévenir l’ordre Jedi alors qu’elle n’était encore qu’en bas-âge, et sa couleur de peau rouge, assez rare parmi son espèce, en faisait une marchandise assez prisée par les marchands d’esclaves. Ses parents ne roulaient pas sur l’or et n’étaient pas vraiment étouffé par l’amour parental en comparaison d’une somme rondelette, Ryloth, bien que faisant parti de la République Galactique, qui interdisait officiellement l’esclavage, a construit un système judiciaire permettant de facilement contourner ses interdictions grâce a des contrats des plus opaques, et ainsi, la petite fut vendu sans aucun état d’âme a des marchands d’esclave alors qu’elle n’avait que cinq ans. Après avoir reçu la puce d’entrave permettant de s’assurer de sa position et de sa docilité, elle fut donc embarquée de force dans un vaisseau jusqu’au système Hutt dans la bordure extérieure, plus exactement sur la planète connue comme étant le plus grand cloaque de la galaxie : Nar Shaddaa, la fameuse « place de tous les possibles », qui n’était rien d’autre en réalité qu’un piège mortel pour chaque malheureux être vivant s’y trouvant, très peu arrivant a en sortir riche, la plupart finissant rapidement ruiné, mort, ou réduit en esclavage.
Dans cet enfer, Alya devint un petit esclave de maison : on ne lui apprenait que le strict nécessaire, de quoi savoir s’exprimer, mais surtout faire le ménage et accomplir les tâches domestiques, ce qui était aussi complexe que vain sur une planète aussi polluée que Nar Shaddaa. Bien qu’il s’agisse d’une Œcuménopole, cette planète n’était rien d’autre qu’un caillou recouvert d’une intense pollution qui rendait l’espoir de conserver un lieu parfaitement propre impossible. De fait, les établissements les plus riches entretenaient une armée d’esclave servant au nettoyage afin de pouvoir les gronder pour des échecs dans des tâches impossibles : un moyen comme un autre de réguler la surpopulation, même si le nombre d’idiot croyant aux promesses de richesses des Hutts ne se tarissaient jamais. Toutefois, Alya avait une « chance » dans son malheur : sa couleur de peau. Ses propriétaires ne voulaient guère l’abimer, car une fois adulte, elle pourrait être vendu a quelqu’un d’influent a la recherche d’une compagne aussi belle qu’exotique par ses attributs. Puisque, de part la génétique, il était certain que la petite fille deviendrait une belle femme, il ne fallait pas trop abimer la marchandise et s’assurer qu’elle soit au moins convenablement nourrie. Cela permis à Alya d’échapper aux réductions de ration ainsi qu’aux châtiments corporel, les rares osant lever la main sur elle subissant le courroux de ses propriétaires, un courroux appelant souvent à une sentence aussi radicale que définitive.
A l’adolescence, elle commença a avoir des cours plus particulier destiné a la préparer a devenir le produit phare, assurant une plus-value des plus lucratives a son établissement : des cours d’étiquettes, ou du moins ce qui s’en rapprochait dans un bouge comme Nar Shaddaa, des cours de danses, en insistant particulièrement sur les plus sensuelles et érotique, des cours de maquillage, de mode, ainsi que des enseignements sur la culture des principaux mondes de la galaxie, ceux d’où viendraient sans doute les clients. Alya ne compris pas tout de suite ce qu’on attendait d’elle, mais il fallait admettre que danser ou suivre des cours d’étiquettes, aussi ridicule soient-ils dans la réalité, avait quelque chose de bien plus séduisant que de faire le ménage, alors l’adolescente s’y plongea sans discuter. Sans surprise, elle se montra assez habile en danse, comme de nombreux membres de son espèce, en revanche, l’étiquette était plus complexe, sans doute a cause du peu d’éducation qu’elle avait reçu jusqu’ici. Toutefois, elle n’irait jamais jusqu’au bout de ses enseignements. Cela faisait quelques temps qu’elle avait découvert qu’elle était capable de déplacer des objets par la pensée, des choses anodines, comme des stylos par exemple, mais qui ne le serait guère pour un des visiteurs des propriétaires, ce qui allait changer radicalement son destin.
A ses seize ans, Alya rencontra celui qui allait devenir son Maître, un vieil homme encore vigoureux venu a l’origine pour obtenir un renseignement quelconque. Il tomba sur l’adolescente alors que cette dernière jouait a faire léviter une pomme. Par surprise, il parvint à collecter un échantillon de sang avant de disparaître dans le but de contrôler son taux de midichlorien, l’organisme présent dans le sang déterminant la maitrise de la Force d’un individu. Il se trouvait que la Twi’Lek disposait d’un potentiel suffisant pour devenir Sith et donc qu’elle pouvait être formée. Contrairement aux Jedi, les Sith se moquent pas mal de l’âge de leurs disciples, et l’homme savait que les propriétaires ne lui offriraient jamais l’esclave sans une somme conséquences. Alors, dans un monde sans foi ni loi ou seule la violence régnait, il employa la voie la plus directe, et peut-être la plus adaptée au code Sith. Pour la première fois de son existence, Alya fut confronté à une violence brute et débridée, alors que le Sith, a grand coup de sabre laser, tuait un par un les membres du personnel de sécurité, les esclaves, les clients et les propriétaires de l’établissement sans distinction. Lorsque son massacre cessa, il faisait face a la Twi’Lek qui l’observait avec résignation, pensant que c’était son tour, mais n’ayant pas fui, ne sachant même pas ou aller et sachant que sa puce d’entrave la tuerait si elle essayait de s’échapper.
Alors, elle eue la surprise de découvrir que l’homme n’avait nullement l’intention de l’éliminer, bien au contraire : il lui révéla qu’il était venu pour elle et qu’elle disposait d’un potentiel rare lui permettant de manipuler la Force. Qu’il pouvait lui apprendre a s’en servir, a la guider sur le chemin du pouvoir afin que plus personne ne se serve d’elle comme d’un vulgaire jouet, comme une propriété. Mais pour cela, elle devait ployer le genou devant lui afin de lui jurer fidélité. Bien qu’alors un peu sotte, la contradiction de ce discours n’échappa guère à la Twi’Lek, mais si elle refusait, elle mourrait également, et la promesse d’un pouvoir aussi grand que le sien, capable d’éliminer l’ensemble d’un bordel en quelques minutes a peine, était séduisante pour l’adolescente sans défense qu’elle était. Alors, pour la première fois, elle ploya le genou et jura fidélité a son nouveau maître. Alya venait de faire son premier pas dans le Côté Obscur de la Force, qui serait désormais le ciment de son destin vers le chemin de la gloire ou de l’ignominie, elle allait découvrir a son contact sa véritable nature, ce qui faisait d’elle ce qu’elle était de quoi elle était capable, ainsi que quelque chose qui lui avait toujours été refusé jusqu’ici : l’ambition.
Ainsi, Alya quitta le cloaque de Nar Shaddaa pour une zone bien plus sombre et inquiétante : le secteur Sith, la planète mère de celui-ci, Korriban. Bien peu connaissent réellement sa nature, en dehors du fait qu’elle existe et qu’il est préférable de ne pas s’y rendre. Sur ce monde, le Côté Obscur est si puissant qu’il balaye toute forme de vie, qui sont d’ailleurs fort peu nombreuses : Korriban est une terre désolée, ou les paysages arides et vide de vie intelligente côtoie de grandes pyramides construites souvent à la gloire d’ancien Sith mort depuis des siècles, voire des millénaires. L’exercice le plus difficile fut peut-être de s’adapter à cet environnement : le cloaque pollué ou la Twi’Lek avait passé son enfance était souvent assez froid, ici, les températures étaient bien plus haute, et il fallait supporter le côté obscur de la Force qui semblait imprégner en permanence l’air, pouvant rendre fou les êtres les plus fragiles ayant le malheur de rester trop longtemps sur ce monde, raison pour laquelle Korriban ne fut jamais colonisé en dehors de l’antique race Sith qui a donner son nom a l’ordre suivant les arts sombres de la Force.
Il fallut ensuite suivre les exercices quotidiens : en premier lieu, la manipulation de la Force ainsi que le renforcement physique. Les humiliations et châtiments corporels ne furent guère rare, la planète elle-même semblait parfois se moquer d’elle, mais ce processus n’était pas anodin : le côté obscur repose après tout sur l’exploitation des émotions afin de gagner en puissance, et il fallait donc qu’Alya soit capable de laisser grandir sa colère, sa haine, son ressentiment, sa peur, pour être capable de se renforcer en puisant dans ses émotions négatives. Et elle apprit dans la douleur a abandonner ce qui avait jusqu’ici forger son existence, la carapace qui masquait ses véritables émotions afin de n’afficher que celle de celui ou celle a qui elle était sensé plaire, mais elle trouva également une source de plaisir a chaque progrès. A chaque exercice finalement réussi, elle se sentait plus forte et plus indépendante : par le pouvoir, les chaines se brisent, la Force me délivrera… Cette phrase du Code Sith trouvait son illustration de façon très claire dans ses exercices, et la jeune femme prouva bientôt que le vieil homme ne s’était guère trompé en la choisissant comme disciple.
La phase la plus étrange fut sans doute l’éducation reprise pratiquement de zéro : en effet, son maître n’était pas n’importe qui. Contrairement a de nombreux Sith, il plaçait la connaissance au-dessus de tout et transmis sa passion pour celle-ci a sa disciple, mais il fallait que cette dernière soit capable de s’en servir. Elle eut des cours approfondies dans de nombreux domaines, et la Force vint à son aide pour lui permettre d’assimiler plus rapidement les connaissances dont elle avait besoin. Elle devint petit à petit l’assistante de son maître afin de pouvoir lui permettre de classer par ordre d’intérêt et d’importance ses bases de données, qui étaient très vastes et contenait de nombreux sujets, pas seulement sur les Sith. Il était nécessaire selon lui de tout savoir si l’on voulait un jour dominer, et le but des Sith était bel et bien de devenir les maîtres de la galaxie non ? Alors elle apprit, compensant une enfance dénuée de sens avec avidité, devenant ce que personne n’aurait jamais imaginer qu’elle serait, une guerrière certes, mais aussi une érudite, pas une simple imbécile agitant son sabre-laser dans l’espoir de pouvoir trancher ses adversaires et se nourrir de leurs morts. Elle aimait l’adrénaline du combat, mais ce n’était pas la seule chose qui la passionnait.
Au fur et a mesure de son éducation, Alya parti en mission dans la galaxie afin d’obtenir des informations, des connaissances, ou tout simplement d’éliminer un individu gênant au service de son maître. Comme l’avait prédit ses parents comme ses anciens propriétaires, sa beauté était devenue des plus conquérante, et elle n’avait aucun mal a faire usage de ses charmes lorsqu’elle le pouvait afin d’obtenir ce qu’elle voulait, il est toujours très amusant de constater a quel point quelqu’un devint bien plus loquace dans des draps après une activité physique intense… Mais parfois, l’infiltration, l’extorsion, la corruption ou le meurtre était de mise. Le simple fait qu’elle soit toujours vivante témoigne de sa réussite et de sa discrétion, de nombreuse enquête pour meurtre n’ont jamais été capable de désigner le même coupable tant les affaires ne semblent avoir aucun lien entre elle. Ainsi les Sith tissent leurs toiles, a l’abri des regards, en préparant le moment ou ils frapperont pour s’emparer de la galaxie. Mais en sentant son pouvoir croitre, elle sentait aussi celui de son maître décliner, alors que le grand âge l’affaiblissait de plus en plus. Alors, après une dernière opération, elle se débarrassa de lui d’un seul coup de sabre-laser, prenant son titre de noblesse sombre et devenant ainsi Darth Kama. C’est peu de temps après qu’elle découvrit le portail capable de la mener jusqu’à la cité des plaisirs lui permettant de commencer une double vie.
Aujourd’hui, la Sith partage sa vie entre sa boutique de tatouage et sa galaxie afin de faire avancer ses pions sur les deux tableaux. Peu réalise sans doute sa véritable nature a Amarylis, ce qui lui offre la possibilité d’être plus libre que dans la galaxie, mais elle recherche toujours le pouvoir suprême et l’immortalité, la cité des plaisirs n’étant qu’un moyen de pouvoir l’atteindre. La Dame Sith trouvera-t-elle ce qu’elle recherche et atteindra-t-elle l’idéal des Sith ? Bien que les chances semblent infime, elle y croit toujours, et dans le pire des cas, elle trouvera un disciple afin de transmettre ses connaissances et s’assurer que la quête se poursuivra, car après tout, la connaissance est une transmission éternelle.
Dans cet enfer, Alya devint un petit esclave de maison : on ne lui apprenait que le strict nécessaire, de quoi savoir s’exprimer, mais surtout faire le ménage et accomplir les tâches domestiques, ce qui était aussi complexe que vain sur une planète aussi polluée que Nar Shaddaa. Bien qu’il s’agisse d’une Œcuménopole, cette planète n’était rien d’autre qu’un caillou recouvert d’une intense pollution qui rendait l’espoir de conserver un lieu parfaitement propre impossible. De fait, les établissements les plus riches entretenaient une armée d’esclave servant au nettoyage afin de pouvoir les gronder pour des échecs dans des tâches impossibles : un moyen comme un autre de réguler la surpopulation, même si le nombre d’idiot croyant aux promesses de richesses des Hutts ne se tarissaient jamais. Toutefois, Alya avait une « chance » dans son malheur : sa couleur de peau. Ses propriétaires ne voulaient guère l’abimer, car une fois adulte, elle pourrait être vendu a quelqu’un d’influent a la recherche d’une compagne aussi belle qu’exotique par ses attributs. Puisque, de part la génétique, il était certain que la petite fille deviendrait une belle femme, il ne fallait pas trop abimer la marchandise et s’assurer qu’elle soit au moins convenablement nourrie. Cela permis à Alya d’échapper aux réductions de ration ainsi qu’aux châtiments corporel, les rares osant lever la main sur elle subissant le courroux de ses propriétaires, un courroux appelant souvent à une sentence aussi radicale que définitive.
A l’adolescence, elle commença a avoir des cours plus particulier destiné a la préparer a devenir le produit phare, assurant une plus-value des plus lucratives a son établissement : des cours d’étiquettes, ou du moins ce qui s’en rapprochait dans un bouge comme Nar Shaddaa, des cours de danses, en insistant particulièrement sur les plus sensuelles et érotique, des cours de maquillage, de mode, ainsi que des enseignements sur la culture des principaux mondes de la galaxie, ceux d’où viendraient sans doute les clients. Alya ne compris pas tout de suite ce qu’on attendait d’elle, mais il fallait admettre que danser ou suivre des cours d’étiquettes, aussi ridicule soient-ils dans la réalité, avait quelque chose de bien plus séduisant que de faire le ménage, alors l’adolescente s’y plongea sans discuter. Sans surprise, elle se montra assez habile en danse, comme de nombreux membres de son espèce, en revanche, l’étiquette était plus complexe, sans doute a cause du peu d’éducation qu’elle avait reçu jusqu’ici. Toutefois, elle n’irait jamais jusqu’au bout de ses enseignements. Cela faisait quelques temps qu’elle avait découvert qu’elle était capable de déplacer des objets par la pensée, des choses anodines, comme des stylos par exemple, mais qui ne le serait guère pour un des visiteurs des propriétaires, ce qui allait changer radicalement son destin.
A ses seize ans, Alya rencontra celui qui allait devenir son Maître, un vieil homme encore vigoureux venu a l’origine pour obtenir un renseignement quelconque. Il tomba sur l’adolescente alors que cette dernière jouait a faire léviter une pomme. Par surprise, il parvint à collecter un échantillon de sang avant de disparaître dans le but de contrôler son taux de midichlorien, l’organisme présent dans le sang déterminant la maitrise de la Force d’un individu. Il se trouvait que la Twi’Lek disposait d’un potentiel suffisant pour devenir Sith et donc qu’elle pouvait être formée. Contrairement aux Jedi, les Sith se moquent pas mal de l’âge de leurs disciples, et l’homme savait que les propriétaires ne lui offriraient jamais l’esclave sans une somme conséquences. Alors, dans un monde sans foi ni loi ou seule la violence régnait, il employa la voie la plus directe, et peut-être la plus adaptée au code Sith. Pour la première fois de son existence, Alya fut confronté à une violence brute et débridée, alors que le Sith, a grand coup de sabre laser, tuait un par un les membres du personnel de sécurité, les esclaves, les clients et les propriétaires de l’établissement sans distinction. Lorsque son massacre cessa, il faisait face a la Twi’Lek qui l’observait avec résignation, pensant que c’était son tour, mais n’ayant pas fui, ne sachant même pas ou aller et sachant que sa puce d’entrave la tuerait si elle essayait de s’échapper.
Alors, elle eue la surprise de découvrir que l’homme n’avait nullement l’intention de l’éliminer, bien au contraire : il lui révéla qu’il était venu pour elle et qu’elle disposait d’un potentiel rare lui permettant de manipuler la Force. Qu’il pouvait lui apprendre a s’en servir, a la guider sur le chemin du pouvoir afin que plus personne ne se serve d’elle comme d’un vulgaire jouet, comme une propriété. Mais pour cela, elle devait ployer le genou devant lui afin de lui jurer fidélité. Bien qu’alors un peu sotte, la contradiction de ce discours n’échappa guère à la Twi’Lek, mais si elle refusait, elle mourrait également, et la promesse d’un pouvoir aussi grand que le sien, capable d’éliminer l’ensemble d’un bordel en quelques minutes a peine, était séduisante pour l’adolescente sans défense qu’elle était. Alors, pour la première fois, elle ploya le genou et jura fidélité a son nouveau maître. Alya venait de faire son premier pas dans le Côté Obscur de la Force, qui serait désormais le ciment de son destin vers le chemin de la gloire ou de l’ignominie, elle allait découvrir a son contact sa véritable nature, ce qui faisait d’elle ce qu’elle était de quoi elle était capable, ainsi que quelque chose qui lui avait toujours été refusé jusqu’ici : l’ambition.
Ainsi, Alya quitta le cloaque de Nar Shaddaa pour une zone bien plus sombre et inquiétante : le secteur Sith, la planète mère de celui-ci, Korriban. Bien peu connaissent réellement sa nature, en dehors du fait qu’elle existe et qu’il est préférable de ne pas s’y rendre. Sur ce monde, le Côté Obscur est si puissant qu’il balaye toute forme de vie, qui sont d’ailleurs fort peu nombreuses : Korriban est une terre désolée, ou les paysages arides et vide de vie intelligente côtoie de grandes pyramides construites souvent à la gloire d’ancien Sith mort depuis des siècles, voire des millénaires. L’exercice le plus difficile fut peut-être de s’adapter à cet environnement : le cloaque pollué ou la Twi’Lek avait passé son enfance était souvent assez froid, ici, les températures étaient bien plus haute, et il fallait supporter le côté obscur de la Force qui semblait imprégner en permanence l’air, pouvant rendre fou les êtres les plus fragiles ayant le malheur de rester trop longtemps sur ce monde, raison pour laquelle Korriban ne fut jamais colonisé en dehors de l’antique race Sith qui a donner son nom a l’ordre suivant les arts sombres de la Force.
Il fallut ensuite suivre les exercices quotidiens : en premier lieu, la manipulation de la Force ainsi que le renforcement physique. Les humiliations et châtiments corporels ne furent guère rare, la planète elle-même semblait parfois se moquer d’elle, mais ce processus n’était pas anodin : le côté obscur repose après tout sur l’exploitation des émotions afin de gagner en puissance, et il fallait donc qu’Alya soit capable de laisser grandir sa colère, sa haine, son ressentiment, sa peur, pour être capable de se renforcer en puisant dans ses émotions négatives. Et elle apprit dans la douleur a abandonner ce qui avait jusqu’ici forger son existence, la carapace qui masquait ses véritables émotions afin de n’afficher que celle de celui ou celle a qui elle était sensé plaire, mais elle trouva également une source de plaisir a chaque progrès. A chaque exercice finalement réussi, elle se sentait plus forte et plus indépendante : par le pouvoir, les chaines se brisent, la Force me délivrera… Cette phrase du Code Sith trouvait son illustration de façon très claire dans ses exercices, et la jeune femme prouva bientôt que le vieil homme ne s’était guère trompé en la choisissant comme disciple.
La phase la plus étrange fut sans doute l’éducation reprise pratiquement de zéro : en effet, son maître n’était pas n’importe qui. Contrairement a de nombreux Sith, il plaçait la connaissance au-dessus de tout et transmis sa passion pour celle-ci a sa disciple, mais il fallait que cette dernière soit capable de s’en servir. Elle eut des cours approfondies dans de nombreux domaines, et la Force vint à son aide pour lui permettre d’assimiler plus rapidement les connaissances dont elle avait besoin. Elle devint petit à petit l’assistante de son maître afin de pouvoir lui permettre de classer par ordre d’intérêt et d’importance ses bases de données, qui étaient très vastes et contenait de nombreux sujets, pas seulement sur les Sith. Il était nécessaire selon lui de tout savoir si l’on voulait un jour dominer, et le but des Sith était bel et bien de devenir les maîtres de la galaxie non ? Alors elle apprit, compensant une enfance dénuée de sens avec avidité, devenant ce que personne n’aurait jamais imaginer qu’elle serait, une guerrière certes, mais aussi une érudite, pas une simple imbécile agitant son sabre-laser dans l’espoir de pouvoir trancher ses adversaires et se nourrir de leurs morts. Elle aimait l’adrénaline du combat, mais ce n’était pas la seule chose qui la passionnait.
Au fur et a mesure de son éducation, Alya parti en mission dans la galaxie afin d’obtenir des informations, des connaissances, ou tout simplement d’éliminer un individu gênant au service de son maître. Comme l’avait prédit ses parents comme ses anciens propriétaires, sa beauté était devenue des plus conquérante, et elle n’avait aucun mal a faire usage de ses charmes lorsqu’elle le pouvait afin d’obtenir ce qu’elle voulait, il est toujours très amusant de constater a quel point quelqu’un devint bien plus loquace dans des draps après une activité physique intense… Mais parfois, l’infiltration, l’extorsion, la corruption ou le meurtre était de mise. Le simple fait qu’elle soit toujours vivante témoigne de sa réussite et de sa discrétion, de nombreuse enquête pour meurtre n’ont jamais été capable de désigner le même coupable tant les affaires ne semblent avoir aucun lien entre elle. Ainsi les Sith tissent leurs toiles, a l’abri des regards, en préparant le moment ou ils frapperont pour s’emparer de la galaxie. Mais en sentant son pouvoir croitre, elle sentait aussi celui de son maître décliner, alors que le grand âge l’affaiblissait de plus en plus. Alors, après une dernière opération, elle se débarrassa de lui d’un seul coup de sabre-laser, prenant son titre de noblesse sombre et devenant ainsi Darth Kama. C’est peu de temps après qu’elle découvrit le portail capable de la mener jusqu’à la cité des plaisirs lui permettant de commencer une double vie.
Aujourd’hui, la Sith partage sa vie entre sa boutique de tatouage et sa galaxie afin de faire avancer ses pions sur les deux tableaux. Peu réalise sans doute sa véritable nature a Amarylis, ce qui lui offre la possibilité d’être plus libre que dans la galaxie, mais elle recherche toujours le pouvoir suprême et l’immortalité, la cité des plaisirs n’étant qu’un moyen de pouvoir l’atteindre. La Dame Sith trouvera-t-elle ce qu’elle recherche et atteindra-t-elle l’idéal des Sith ? Bien que les chances semblent infime, elle y croit toujours, et dans le pire des cas, elle trouvera un disciple afin de transmettre ses connaissances et s’assurer que la quête se poursuivra, car après tout, la connaissance est une transmission éternelle.
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Liam Ashford
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Alya ZaoDim 25 Aoû - 23:29
Bienvenue !
OOooh purée, je me suis perdue dans tous les éléments de SW mais en vrai, elle est très cool la fiche !
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