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Jane Masterson
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Race et origine : Humaine ? / Wild wild West
Age et genre : Femme entre 40 et 50 ans
Métier : Gardien de la paix
Comptes : 3/3 ; ~ 3500 credits
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Les remèdes du charlatan Ft. AliceLun 16 Sep - 14:34
Cette semaine l'Hibiscus est non loin de la demeure de notre Sherif qui a décidé de chevaucher son fidèle destrier afin d'aller y faire une ronde par mesure de précaution. Après tout, dans ce marché, tout le monde peut s'y amuser et trouver son bonheur mais qui sont les petits malins qui aiment glisser leurs mains dans les poches des inconnus pour y chiper toutes sortes de babioles ? C'est pour eviter cela qu'elle compte bien s'y montrer, après tout, la présence d'un représentation de la loi suffit parfois à dissuader les petits malfrats. Ainsi sur le dos de Whirlwind, elle surplombe la foule à la recherche de potentiels malandrin, non sans offrir de petits hochement de tête et de Stetson aux badauds qui lui adresse un regard.
Parmis les dizaines, si ce n'est les centaines de stands au contenu toujours plus improbables dont les multiples odeurs ne laisse dans le nez qu'une odeur âcre de mélange d'épice, l'un d'entre eux attire particulièrement son attention et pas uniquement le sien tant l'attroupement autour de ce petit bazar semble gonfler à mesure que les minutes passent. Et ce qui pourrait être la trouvaille du siècle commence à faire beaucoup parler dans les murmures du marché, néanmoins Jane ne perçoit pas les choses ainsi. En effet, depuis son promontoire équestre, elle aperçoit une femme vantant les mérites inconditionnel de son nouvel élixir miracle à qui veut bien l'entendre. Un discours qui lui fait froncer les sourcils et arreter sa monture sur le champ. Ce genre de discours, elle ne le connait que trop bien. Combien de caravane miracle ne sont pas arrêté à West Hampshire quand elle y était encore la sherif et combien de charlatan on vendu des mélanges de liqueurs coupé à l'eau comme un remède contre l'infertilité et la perte des cheveux ?
Un long soupir s'échappe alors entre ses lèvres alors qu'elle lève les yeux au ciel. Elle doit en avoir le cœur net et empêcher ces pauvres gens de perdre leurs crédits dans des sornettes. C'est donc dans le fracas métallique de ses éperons heurtant le sol et du balancement de son holster qu'elle retrouve le plancher des vaches. Le cliquetis qu'elle fait à chaque pas tandis qu'elle garde les mains accroché à sa ceinture est bien plus qu'une conséquence de son bardât mais bien un petit plus qui cherche à marquer de la prestance. Elle se fraie alors un chemin par la foule, mastiquant un morceau de paille avant d'arriver nez à nez avec la vendeuse.
« Tiens, tiens tiens... Mais qu'est ce qu'on a là ? On aime pas trop les gens comme vous dans l'coin ? »
Elle se saisit aussitôt d'une des fioles présente sur l'étable avant d'en consulter le prix, un prix absurde pour un mélange d'eau et de plantes qui n'auront à ses yeux que l'effet certain de vous empêcher une constipation pendant quelques jours.
« Ça fait bien beaucoup de sous pour un peu flotte. Vous trouvez pas m'dame ? »
Reposant le contenant où elle l'a trouvé, elle fait un pas de plus en direction de la jeune femme, s'imposant à elle comme pour la forcer à avouer son méfait et quitter les lieux pour laisser la place à un bien plus honnête commerçant qu'un vendeur d'eau aromatisé.
Parmis les dizaines, si ce n'est les centaines de stands au contenu toujours plus improbables dont les multiples odeurs ne laisse dans le nez qu'une odeur âcre de mélange d'épice, l'un d'entre eux attire particulièrement son attention et pas uniquement le sien tant l'attroupement autour de ce petit bazar semble gonfler à mesure que les minutes passent. Et ce qui pourrait être la trouvaille du siècle commence à faire beaucoup parler dans les murmures du marché, néanmoins Jane ne perçoit pas les choses ainsi. En effet, depuis son promontoire équestre, elle aperçoit une femme vantant les mérites inconditionnel de son nouvel élixir miracle à qui veut bien l'entendre. Un discours qui lui fait froncer les sourcils et arreter sa monture sur le champ. Ce genre de discours, elle ne le connait que trop bien. Combien de caravane miracle ne sont pas arrêté à West Hampshire quand elle y était encore la sherif et combien de charlatan on vendu des mélanges de liqueurs coupé à l'eau comme un remède contre l'infertilité et la perte des cheveux ?
Un long soupir s'échappe alors entre ses lèvres alors qu'elle lève les yeux au ciel. Elle doit en avoir le cœur net et empêcher ces pauvres gens de perdre leurs crédits dans des sornettes. C'est donc dans le fracas métallique de ses éperons heurtant le sol et du balancement de son holster qu'elle retrouve le plancher des vaches. Le cliquetis qu'elle fait à chaque pas tandis qu'elle garde les mains accroché à sa ceinture est bien plus qu'une conséquence de son bardât mais bien un petit plus qui cherche à marquer de la prestance. Elle se fraie alors un chemin par la foule, mastiquant un morceau de paille avant d'arriver nez à nez avec la vendeuse.
« Tiens, tiens tiens... Mais qu'est ce qu'on a là ? On aime pas trop les gens comme vous dans l'coin ? »
Elle se saisit aussitôt d'une des fioles présente sur l'étable avant d'en consulter le prix, un prix absurde pour un mélange d'eau et de plantes qui n'auront à ses yeux que l'effet certain de vous empêcher une constipation pendant quelques jours.
« Ça fait bien beaucoup de sous pour un peu flotte. Vous trouvez pas m'dame ? »
Reposant le contenant où elle l'a trouvé, elle fait un pas de plus en direction de la jeune femme, s'imposant à elle comme pour la forcer à avouer son méfait et quitter les lieux pour laisser la place à un bien plus honnête commerçant qu'un vendeur d'eau aromatisé.
Alice
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Les remèdes du charlatan Ft. AliceJeu 7 Nov - 15:55
Mes ventes se passaient plutôt bien, mes nouvelles potions attiraient une nouvelle clientèle, tandis que mes élixirs de jouvences faisaient toujours quelques heureux, ce n'était plus désormais mon produit phare. Y'avait même une petite foule qui s'était amassée devant mon stand. Mais voilà qu'une impatiente, du moins, c'était ce que je croyais, venez se faufiler parmi la foule.
« Un peu de flotte ? » Je la regardais de haut en bas, avant d'éclater de rire. Un rire pour masquer ma colère, mais elle était revenue quand je repris la parole. « T'as cru c'était l'carnaval ? Que t'étais une cowgirl du far west ou quoi ? »
Réponse cinglante, à une question offensante que j'avais reçue. Oui, je n'avais pas aimé son ton, ni son insinuation. J'avais toujours été honnête et je n'aurais pas ma place ici si ce n'était pas le cas. Enfin, si, peut-être, mais on n'escroquait pas les clients. Peut-être certains avaient des marchandises douteuses, mais c'était leur provenance qui l'était. Pas les marchandises en elles-mêmes. Surtout les esclavagistes, que je détestais au plus haut point. Mais c'était comme ça, je n'avais pas d'autres choix que de les supporter. Enfin, je les évitais, la plupart du temps.
« Maintenant, avec ta tenue d'clown, tu me déguerpis le plancher, d'accord ? J'te vendrais rien, tu es mis dans ma blackliste, tant pis pour toi. »
Puis, je lui fis un geste de la main comme pour chasser un petit animal. Je ne comprenais pas ce sentiment qu'elle avait provoqué. Cette colère ne me ressemblait pas. Mais elle était là, inexplicablement. Peut-être parce que c'était mon premier projet qui me tenait à cœur dans ma vie ? Peut-être était-ce car j'aimais ça ? Je vendais du rêve en bouteille, j'offrais des possibilités à des gens.
Cependant, ce geste a provoqué des rires dans la foule de clients, et certains se sont mis à nous regarder, pour voir si on allait se crêper le chignon en public. Tandis que d'autres s'en vont, se disant que je n'étais certainement qu'une escroc... Voilà bien ma veine.
« Un peu de flotte ? » Je la regardais de haut en bas, avant d'éclater de rire. Un rire pour masquer ma colère, mais elle était revenue quand je repris la parole. « T'as cru c'était l'carnaval ? Que t'étais une cowgirl du far west ou quoi ? »
Réponse cinglante, à une question offensante que j'avais reçue. Oui, je n'avais pas aimé son ton, ni son insinuation. J'avais toujours été honnête et je n'aurais pas ma place ici si ce n'était pas le cas. Enfin, si, peut-être, mais on n'escroquait pas les clients. Peut-être certains avaient des marchandises douteuses, mais c'était leur provenance qui l'était. Pas les marchandises en elles-mêmes. Surtout les esclavagistes, que je détestais au plus haut point. Mais c'était comme ça, je n'avais pas d'autres choix que de les supporter. Enfin, je les évitais, la plupart du temps.
« Maintenant, avec ta tenue d'clown, tu me déguerpis le plancher, d'accord ? J'te vendrais rien, tu es mis dans ma blackliste, tant pis pour toi. »
Puis, je lui fis un geste de la main comme pour chasser un petit animal. Je ne comprenais pas ce sentiment qu'elle avait provoqué. Cette colère ne me ressemblait pas. Mais elle était là, inexplicablement. Peut-être parce que c'était mon premier projet qui me tenait à cœur dans ma vie ? Peut-être était-ce car j'aimais ça ? Je vendais du rêve en bouteille, j'offrais des possibilités à des gens.
Cependant, ce geste a provoqué des rires dans la foule de clients, et certains se sont mis à nous regarder, pour voir si on allait se crêper le chignon en public. Tandis que d'autres s'en vont, se disant que je n'étais certainement qu'une escroc... Voilà bien ma veine.